Questions / Réponses

Possible après l’âge de 18 – 20 ans, lorsque le défaut est stabilisé au moins depuis 1 an/ 1 an et demi.
Dans les 2 cas suivants :

  • Myopie inférieure à 12 dioptries (selon épaisseur de la cornée)
  • Hypermétropie inférieure à 6 dioptries
  • Astigmatisme inférieure à 6 dioptries

L’association de 2 défauts peut être traitée durant la même procédure (ex : myopie et astigmatisme).

Oui : le bilan ophtalmologique pré-opératoire soigneux permet de dépister des anomalies oculaires contre-indiquant l’opération (ex : kératocome , pathologie oculaire, cornée trop fine).
Les patients atteints de maladie inflammatoire chronique pouvant perturber la cicatrisation ne peuvent être opérés.

Oui  la plupart des chirurgiens opèrent de façon bilatérale. La sécurité de l’intervention s’étant renforcée et le recul de cette chirurgie (supérieur à 15 ans) permet d’opérer les 2 yeux en même temps.
La volonté du patient préférant être opéré à quelques jours d’intervalle sera respectée.

Toujours une anesthésie locale uniquement par quelques gouttes de collyre agissant immédiatement. Aucune piqûre ni injection n’est nécessaire.

La procédure est indolore généralement une sensation de pression est ressentie lors du Lasik. Le patient est rassuré par le dialogue permanent durant l’intervention avec le chirurgien  et la panseuse toujours présente à ses côtés.

Non : vos yeux ont le même aspect qu’avant.

Après Lasik : 1  à 2  jours
Après  PKR :  4  à  5 jours
Le travail sur écran est autorisé

Le port des lentilles est possible et autorisé.

La correction de la vision reste permanente. Les maladies dues au vieillissement  de l’œil (cataracte, glaucome …) peuvent être traitées.
La presbytie survient classiquement après 45 ans.

Entre les mains expérimentées, les risques sont moindres, cependant aucune chirurgie ne comporte pas de risque et le risque 0 n’existe pas.
Le chirurgien remet toujours une notice d’information et de consentement ou tous les risques sont exposés.
Moins de 0,1% de risque sévère.
L’infection le risque le plus grave (incidence exceptionnelle)
L’inflammation post-opératoire est jugulée par les traitements anti-inflammatoires en collyre dont on varie le dosage et la durée.
La plupart des patients cicatrisent assez rapidement.
La vision de halos est possible autour des lumières essentiellement  et s’estompe généralement assez  rapidement  en quelques jours à quelques semaines (certains patients peuvent être gênés durant plusieurs mois surtout la nuit.)
La sècheresse oculaire : cette gêne oculaire peut nécessiter d’utiliser des collyres hydratants et lubrifiants durant plusieurs mois.

Sous correction et sur correction : en cas de persistance d’un défaut visuel gênant après l’intervention , une retouche (consistant à gommer le défaut en resculptant la cornée au Laser Excimer ) est possible dans les mois suivant, lorsque la stabilisation est obtenue : on peut alors traiter une myopie, une hypermétropie ou un astigmatisme restant.
La retouche n’est pas payante.

La sécurité sociale ne prend pas en charge cette intervention qui est considérée comme une chirurgie de confort.
De plus en plus de mutuelles remboursent un forfait variable.

La sécurité sociale ne prend pas en charge cette intervention qui est considérée comme une chirurgie de confort.
De plus en plus de mutuelles remboursent un forfait variable.

Les sports de combat ou à risque de traumatisme violent sont fortement déconseillés en cas de Lasik. Par contre, après cicatrisation d’une PKR, pas de contre-indication.

Non : l’intervention n’est pas prise en charge par la Sécurité Sociale.